Surpuissance du funk (du vrai)
" I don't want nobody to give me something, just open up the door and I'll get it myself ! "
la puissance du rythme ajoutée a la niak des lyrics et à la classe intersiderale de James en 1969 le tout devant un public autiste.
En 1969 James Brown fait passé le message, il est au top de sa popularité. Le mec vient d'un de ces bleds du sud ou les enfants noirs n'avaient pas accès à l'éducation et il clame à tout ses "brothers" qu'ils doivent s'éduquer, aller à l'école, aller de l'avant. James Brown, dans son costume chic et bien ajusté est comme un preacher fier de ses fidèles. Il fait sienne les paroles de Martin Luther King "You are somebody". Il est le parrain du funk ! Et les paroles résonnent encore aujourd'hui alors qu'Obama, le Black President tant attendu par des générations d'Afro-américains, se démène pour imposer plus de justice sociale.
un petit bonus glané chez "The B-Side" :
Ain't It Funky Now (Part 2)
1 Comments:
Surpuissance du rythme, des lyrics, de la voix! Éternel Godfather of Soul... Comment les nunuches du premier rang peuvent ne pas entamer, AU MINIMUM, un bon vieux headbangin' ? On croirait qu'il joue devant les résidents d'une morgue!
Merci en tout cas!
Enregistrer un commentaire
<< Home