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09/04/2005

Justification définitive


Notre but est simple :
Faire découvrir un artiste,
Faire découvrir un album non réédité en CD

Il y a beaucoup de gens qui connaissent, qui respectent et qui ont grandi avec la musique de Tchico Tchicaya.
Beaucoup d'autres n'ont aucune idée de son existence. De même, ils n'ont pas la moindre idée de la consistance du patrimoine de la musique populaire Africaine. Juste retour de flamme, Fela le rebelle est devenu, post mortem, une vedette reconnue. Cool mais faut pas s'arrêter la. L'afro beat est juste un état dans un continent de musique.

C'est pas grave, ça viendra. Pour vous en rendre compte allez faire un tour sur le site Benn loxo du taccu (qui signifie "on ne peut pas applaudir avec une main" en Wolof) le formidable blog de Matt Yanchyshyn, journaliste indépendant basé au Sénégal.

En attendant une notice plus compléte sur le disque Orchestre du Buffet de la Gare de Bamako Vol2. le groupe de Salif Keïta et Kanté Manfila à la fin des années 70, je vous laisse découvrir un extrait de l'album avec ici Kanté Manfila au chant.


♬M'Bouram Mousso Ambassadeurs du Motel de Bamako - 1977
label : Sonafric
réf : SAF 50031

3 Comments:

Anonymous Anonyme said...

don't stop this blog !

vendredi, 15 avril, 2005  
Anonymous Anonyme said...

Hello !

Bravo pour ce blog consacré à la musique africaine "contemporaine" (funk, rock, trad., rap, chanson,...). Et merci pour les raretés mises en ligne.
Il est devenu très difficile, voire impossible de dénicher certains 45 et 33 tours vinyls.
Alors : Laafi !

Tex, à Genève

mercredi, 18 mai, 2005  
Anonymous Anonyme said...

Hello !

Deux séjours assez longs en Afrique de l'Ouest m'ont appris à oublier les étiquettes et à me méfier des clichés en cours dans la vieille Europe.
Un matin à Ouaga, j'écoutais dans la minuscule échoppe de mon dealer de K7 préféré des nouveautés, quand un type m'aborda directement de façon plutôt sympathique. Il voulait connaître mes goûts musicaux, quels étaient mes chanteurs africains favoris, etc. Au fil de la conversation, je m'aperçus qu'il me posait des questions plus personnelles : ce que je faisais à Genève, ce que j'étais venu faire ou chercher à Ouaga, etc. C'était amené si naturellement que j'y voyais pas malice. Après avoir acheté chacun quelques K7, on but une bière en trinquant à la musique avant de se séparer. Dans la soirée, une amie m'apprit que l'amateur de musique avec lequel j'avais discuté sans façon était un des chefs de la Sûreté dans la capitale... Il m'avait en quelque sorte fait passer un test.
Il faut aussi savoir qu'au milieu des années 90, un des meilleurs orchestres de danse de Ouaga était le band de la police qui chauffait chaque samedi la piste du club des officiers, le plus couru de la ville. Ça ne s'invente pas !

Bien cordialement,

Tex

vendredi, 20 mai, 2005  

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